Sunday, September 13, 2015

70

Le chef a fêté en grandes pompes son 70ème anniversaire ces jeudi et vendredi, avec un symposium de 2 jours où étaient invités tous les anciens membres de son labo, ses amis, ses collègues et tous les gens importants qu'il a côtoyés au cours de sa longue carrière. Il était radieux, notre Richard!
Deux journées intenses scientifiquement et festivement pour lui, mais aussi pour nous tous. On a pu faire connaissance avec nos prédécesseurs au labo, qu'on connaissait bien de nom et par leur travail. Et puis quel plaisir de revoir ces collègues/complices/amis qu'on a côtoyés un temps quotidiennement puis qu'on n'a plus vu pendant des années.
Et côté science, la qualité des présentations était hors du commun. Certains anciens sont devenus de vraies stars, d'autres le seront très bientôt. Quel honneur de faire partie d'une telle grande famille scientifique!
Evidemment, la soirée s'est clôturée par un concert des Cellmates! Ils ont joué leurs grands classiques science-rock: 'Molecular millionaire', 'Rejected', 'She's a knockout', 'Kits-r-Us'.
Malheureusement, on avait tellement de choses à se raconter que j'ai complètement oublié de prendre des photos et des selfies avec tous mes amis. J'ai juste celle-ci avec mon ami Enric (maintenant à NY et que je revois régulièrement), Anja (ancienne étudiante, maintenant en thèse à Londres) et Shomi (maintenant à SF):
Je trouverai certainement plus de photos dans les prochains jours.

Le but maintenant, c'est de revenir dans 10 ans, et de faire partie de ces rising stars qui auront l'honneur de présenter leurs travaux lors du 80ème anniversaire du chef!

2 comments:

Elodie said...

Chouette récit ! Et beau contraste avec de premiers articles sur les collègues (je me souviens de comparatifs de manières de tenir la porte...)

Anthony said...

Ah oui, la technique du passage de porte: j'avais oublié ça!

Mais c'est vrai que c'est fort agréable en Belgique de pouvoir tenir la porte à quelqu'un en regardant la personne avec un sourire et sans se faire dévisager comme si on était un gros pervers.