Avant les images de NYC...
Ca fait trois semaines que je me promène toujours avec mon appareil photo. Et pourtant, je n'ai pas encore réussi a faire le cliché que je recherche. Une perle rare!
Des panneaux, autocollants, T-shirts, badges, casquettes et autres babioles aux noms de Obama-Biden, on en trouve par centaines tous les jours.
Ca fait trois semaines que je me promène toujours avec mon appareil photo. Et pourtant, je n'ai pas encore réussi a faire le cliché que je recherche. Une perle rare!
Des panneaux, autocollants, T-shirts, badges, casquettes et autres babioles aux noms de Obama-Biden, on en trouve par centaines tous les jours.
Par contre, les autocollants McCain-Palin, j'en ai vu un seul jusqu'à présent...
Certes, le Connecticut, et peut-être encore un peu plus Yale-City, est un état bleu (c'est à dire démocrate... 'gauche'/droite - rouge/bleu sont inversés par rapport à l'Europe). Mais là, inutile d'attendre le 4 novembre, Barack peut déjà réserver son déménageur pour la Maison Blanche.
C'est d'ailleurs surprenant, la manière dont il est devenu omniprésent dans les médias. Il y q deux ans, les gazettes et les dépêches de l'AP enchaînaient les infos sur l'Irak, le terrorisme et sur W et sa clique. Il y a un peu plus d'un an, Hillary est apparue. Elle avait la cote et rien ne semblait pouvoir empêcher 'Clinton 2 : le retour!'
Puis soudain tout a changé. Hillary était toujours en une, mais c'était pour souligner son arrogance ou lui accrocher des casseroles. Ce qui laissait le loisir à Barack de fanfaronner dans élections primaires démocrates.
Mais comment cela a-t-il été possible? En Amérique, une campagne électorale, ça s'achète... c'est comme le reste ici. Les spots télévisés de 30 secondes, c'est loin d'être gratuit. Une dépêche complaisante, ça se paie. Les faveurs d'un éditorialiste, ça se négocie. Faire circuler une info assasine pour l'adversaire, ça vaut son pesant d'or. Le soutien du New York Times ou d'un ancien faucon de Bush, on n'en imagine même pas le montant. Car un bureau ovale... ça n'a pas de prix!
Serait-ce ça le secret de Barack? Ben oui! Ses dépenses de campagne devraient dépasser 1 milliard de $... Soit bien plus que ce qu'ont dépensé Bush et Kerry à eux deux il y a 4 ans. Cette info passe d'ailleurs pratiquement inaperçue... tandis que les 150 petits millers de $ de la garde-robe de Sarah Palin remplissent les gazettes. Qui a donc fournit l'info sur ce budget 'garde-robe' aux journalistes? Ne serait-ce pas le clan de Barack? Cqfd???
Reste une question à laquelle je n'ai pas encore trouvé de réponse. Qui finance la campagne d'Obama? Ca pourrait avoir une certaine influence sur la politique qu'il va mener, lorsque le temps des beaux discours sera passé!
Certes, le Connecticut, et peut-être encore un peu plus Yale-City, est un état bleu (c'est à dire démocrate... 'gauche'/droite - rouge/bleu sont inversés par rapport à l'Europe). Mais là, inutile d'attendre le 4 novembre, Barack peut déjà réserver son déménageur pour la Maison Blanche.
C'est d'ailleurs surprenant, la manière dont il est devenu omniprésent dans les médias. Il y q deux ans, les gazettes et les dépêches de l'AP enchaînaient les infos sur l'Irak, le terrorisme et sur W et sa clique. Il y a un peu plus d'un an, Hillary est apparue. Elle avait la cote et rien ne semblait pouvoir empêcher 'Clinton 2 : le retour!'
Puis soudain tout a changé. Hillary était toujours en une, mais c'était pour souligner son arrogance ou lui accrocher des casseroles. Ce qui laissait le loisir à Barack de fanfaronner dans élections primaires démocrates.
Mais comment cela a-t-il été possible? En Amérique, une campagne électorale, ça s'achète... c'est comme le reste ici. Les spots télévisés de 30 secondes, c'est loin d'être gratuit. Une dépêche complaisante, ça se paie. Les faveurs d'un éditorialiste, ça se négocie. Faire circuler une info assasine pour l'adversaire, ça vaut son pesant d'or. Le soutien du New York Times ou d'un ancien faucon de Bush, on n'en imagine même pas le montant. Car un bureau ovale... ça n'a pas de prix!
Serait-ce ça le secret de Barack? Ben oui! Ses dépenses de campagne devraient dépasser 1 milliard de $... Soit bien plus que ce qu'ont dépensé Bush et Kerry à eux deux il y a 4 ans. Cette info passe d'ailleurs pratiquement inaperçue... tandis que les 150 petits millers de $ de la garde-robe de Sarah Palin remplissent les gazettes. Qui a donc fournit l'info sur ce budget 'garde-robe' aux journalistes? Ne serait-ce pas le clan de Barack? Cqfd???
Reste une question à laquelle je n'ai pas encore trouvé de réponse. Qui finance la campagne d'Obama? Ca pourrait avoir une certaine influence sur la politique qu'il va mener, lorsque le temps des beaux discours sera passé!
4 comments:
Finement analysé ! C'est clair que s'il est élu il risque fort de se retrouver pieds et poings liés (en esclavage...) à ses "généreux donateurs".
Mais rien n'est gagné ! Il paraît que dans le secret de l'isoloir pas mal de gens revoient leurs idéaux à la baisse et votent sécurité, donc WASP. Cet effet qui porte un nom (?) a déjà joué des tours à pas mal de candidats à des postes soumis à un scrutin aux USA.
Tout cela est bien sérieux...
Standard champion !
Aaaaah, là je me sens mieux !
WASP? S'ils choisissent Palin, j'appellerais plutôt ça voter pour une wasse... comme on dit à Lîdge!
WASP = White Anglo-Saxon Protestant.
Le vrai et pure Américain quoi ! Le descendant direct des Pères fondateurs !
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