Le premier dimanche d'avril est un triste jour. C'est la fête dans la Ville Lumière pour 35000 félés et leurs supporters, et une fois de plus, on n'y est pas!
Le pire, c'est d'imaginer le travail qu'il va falloir fournir avant de pouvoir y retourner. Mes guiboles ne sont même plus des croquettes sans chapelure : ce sont des spaghettis cuits! Et chaque fois que je remonte de l'animalerie en courant, pour le fun, je ne suis pas encore au troisième étage que mes poumons me rappellent l'époque où je n'étais qu'un chétif petit asthmatique. Postdoc de merde...
Mais il faut savoir rester fou. Vincent, je compte sur toi, une parole est une parole : dans 10 ans exactement, on y est à nouveau, comme au bon vieux temps! Il faudra peut-être 3 saisons pour retrouver la condition, on reprendra l'entraînement à vélo, dans les polders et avec le vent dans le dos si il le faut, mais on y retournera et on fera péter les 3h50, nondidju!
Mais il faut savoir rester fou. Vincent, je compte sur toi, une parole est une parole : dans 10 ans exactement, on y est à nouveau, comme au bon vieux temps! Il faudra peut-être 3 saisons pour retrouver la condition, on reprendra l'entraînement à vélo, dans les polders et avec le vent dans le dos si il le faut, mais on y retournera et on fera péter les 3h50, nondidju!
1 comment:
Allez, courage, on sera tous avec toi. Prudence à la reprise quand même. De toute façon, c'est comme le vélo, la course à pied, ça ne s'oublie pas. Ca se prépare.
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